Catégorie : Appli partenaire
Eurocup #6 – Une course sans trophée au bout
100
96
Score par quart-temps : 30-14, 17-25, 25-22, 28-35
LE RÉSUMÉ
Ce soir les hommes de Freddy Fauthoux avaient posé leurs valises à Panevezys, ville de presque 100 000 habitants et qui occupe actuellement le bas du tableau d’Eurocup avec seulement 1 victoire. Espérons que ça dure.
L’entame de match est dingue. Les lituaniens sont fous d’adresse, 8/8 à 3pts et 3/3 à 2pts à la fin du premier quart-temps, un 100% rarement vu qui laisse nos bressans à 16 longueurs derrière. Besoin d’une réaction d’orgueil au plus vite ! (30-14)
C’est entendu. Le 2ème quart commence mieux, un 10 à 0 remet complètement les burgiens en jeu pour revenir jusqu’à 5 petits points derrière, on respire un peu. En à peine 15 minutes, quasiment tous les joueurs avec des minutes au compteur ont inscrit des points. La force collective Rouge et Blanche est en marche pour palier l’insolence offensive du début de match de nos adversaires. À 1’44, Zacch Risacher sur une très bonne passe d’Axel Julien ramène sa team à -2. Mais quelques lancers francs & shoots mi-distance passent par là & la dernière minute tourne clairement en faveur de Lietkabelis (47-39).
Toujours si près
Come back sur le parquet et un 3 points nous assomme direct. On a beaucoup de mal à faire flancher cette équipe lituanienne. Bryce Brown vient réduire l’écart avec une flèche à 45°. Mais la sanction ne suffit pas, on ne convertit pas ces mini-occasions pour pouvoir revenir. L’un des cadors de la soirée, Deividas Sirvydis (27pts) fait beaucoup de mal à la stratégie mise en place par Freddy Fauthoux. C’est dur, -11 points, plus que 10 minutes. (72-61)
Axel Julien joue la malice, celle qui lui va si bien. Une reprise de balle, une faute provoquée, pour laisser Jeremy Morgan déclencher derrière la ligne. Le début de ce quart-temps nous rassure un tout petit peu, peut-être pouvons-nous encore y croire ? Pour ça, on a besoin de stops défensifs. Sauf qu’ils continuent de se balader en attaque, on est encore trop tendre. Les sursauts bressans existent mais ils sont trop éphémères, la confiance accumulée des violets semble trop installée. Et pourtant, nous ne sommes jamais loin ! EJ Rowland souffle sur les braises de l’espoir avec un caviar incroyable à 1 minute de la fin, Zaccharie Risacher aussi avec de vrais tirs longues distances. Mais dans de dernières minutes interminables, les chances existent mais s’amenuisent… Pour nous emmener vers une seconde défaite en Eurocup, 100 à 96.
La route continue, retour en France et direction St-Quentin à présent pour une rencontre samedi à 21h00.
Crédit photo : ©LietkabelisPanevezys
Betclic Elite #10 – Rien ne sert de courir…
La JL Bourg et Roanne ouvraient le bal de la dixième journée du championnat ce samedi en début d’après-midi.
81
84
Score par quart-temps : 18-26 / 26-23 /19-20 / 18-15
LE RÉSUMÉ
Ce derby rhônalpin commence de manière offensive, comme prévu au vu du jeu des deux équipes. Avec de la réussite longue distance de chaque côté, la Jeu prend un premier pas sur la rencontre avant que les Roannais n’arrivent à passer devant grâce à l’apport de leur nouvel intérieur Nuni Omot qui aligne aussi bien les lancers qu’à 3 points (6e 08-16).
La Chorale s’acharne, pour le moment avec raison, sur les tirs primés qui finissent par faire gagner la confiance à toute l’équipe. Après plusieurs pertes de balles un peu bêtes, nos Bressans réactivent la marche en avant après le temps mort de Freddy Fauthoux. D’un 15 à 2 subis, Isiaha Mike et ses coéquipiers passent un 8 à 0 qui relance la partie. Portés par un très adroit Jordan Tucker, déjà à 17 points, les visiteurs poursuivent avec la même série, bien aidés par quelques décisions qui portent Risacher à 3 fautes, 18 à 26.
Cette rencontre est vraiment un enchainement de séries. Pourtant en difficulté sur certains passages, nos joueurs grappillent quelques ballons qui leur permettent de rester au contact (14e 30-32). Mais après les tirs à 3 points de Julien et Brown, les Ligériens trouvent eux aussi des ressources pour reprendre de l’air. À l’image de Kellan Grady qui sanctionne dans le corner. C’est un véritable mano a mano où le score fait le yo-yo minute après minute (17e 37-40). La réussite est tout de même plus présente pour les Roannais qui ne perdent pas le nord en alternant le jeu desservi près du panier par Cooper et les tirs extérieurs. Sans Risacher ni Morgan bloqués par les fautes, la JL peine à se stabiliser et surtout à trouver de nouvelles situations. Dans un match ouvert, nos Burgiens ont refait une petite partie de leur retard à la pause, 44 à 49.
La JL a trop couru derrière
C’est un drôle de match, véritablement. D’une première mi-temps ultra offensive, à un retour des vestiaires qui semble enfin être équilibré. Et surtout avec des Bressans plus agressifs vers le cercle, notamment bien aidé par le retour de Jeremy Morgan et Zacch Risacher (25e 53-52). En envoyant deux bombinettes à 3 points, le Bressan d’origine qu’est Antoine Diot, remet la machine roannaise en marche au meilleur des moments. Car pendant que les gamelles s’enchainent côté Rouge et Blanc, le maitre à jouer fait extrêmement de bien aux siens. De quoi recréer un bel écart, 63 à 71.
La tournure du match a totalement changé dans cet ultime acte. En cinq minutes, le score est de 5 à 2 en faveur de nos joueurs. Un contexte qui continue d’arranger les hommes de Jean-Denys Choulet qui gardent la main. Mais en deux temps trois mouvements, la Jeu recolle encore une fois. A deux doigts de passer en tête avec un dunk raté de Kokila, c’est Omot qui dégaine de loin pour faire encore souffler la Chorale (36e 72-76).
Aux lancers-francs, la JL laisse de belles chances de pouvoir reprendre les commandes. Il va falloir désormais passer par des stops, comme celui effectué qui offre un tir à 3 points en contre-attaque à Morgan. Et les occasions sont là, par deux fois, les Bressans manquent de passer devant. Mais quand ça ne veut pas… Jusqu’à ce tir de Kokila qui fait enfin chavirer Ekinox (39e45 81-80). Sauf qu’une antisportive de Julien à 7 secondes du terme vient ternir un peu plus la fin. D.J. Cooper fait 1 sur 2 mais la possession est roannaise. Prolongation ou succès des visiteurs ? Ce sera la deuxième option avec Cooper qui déclenche de trois mètres derrière la ligne à 3 points et vient climatiser Ekinox. Défaite au buzzer, 81 à 84.
Crédit photo : ©JacquesCormarèche
Betclic Elite #10 – La JL avance en chœur face à Roanne
Nos Rouge et Blanc ouvrent le bal de la 10ème journée du championnat ce samedi face à la Chorale de Roanne.
Eurocup #5 – Cette JL a du caractère !
78
73
Score par quart-temps : 17-21, 21-22, 21-13, 19-17
LE RÉSUMÉ
En ce jour de Toussaint, Ekinox a fait le plein, de quoi soutenir nos joueurs dans ce combat annoncé difficile !
JaCorey Williams gâté pour son retour, il est l’heure de lancer la rencontre. On l’avait dit, Podogrica, c’est du solide cette saison. Un profil d’équipe construit pour briller en Eurocup, et visiblement, notre adversaire du soir ne tourne pas au diesel. C’est pied au plancher que notre adversaire attaque la rencontre, 8-15, après le 3e panier de Jacorey Williams, très en vue en ce début de rencontre. La Jeu ne se laisse pas abattre et réagit par l’intermédiaire de Maksim Salash, 5 points. Après 10 minutes, le score est de 17-21.
Après quelques atermoiements techniques, les joueurs se sont visiblement refroidis, le score n’enfle plus, la Jeu tente de revenir étape par étape. Rien n’est simple tant les bleus trouvent une faille à chaque rapproché bressan. Heureusement, EJ Rowland trouve la mire au buzzer, 38-43.
Risacher emmène la Jeu !
Bryce Brown pénalisé et muet en attaque, c’est le jeune et talentueux Zacchrie Risacher qui s’illustre, la JL passe un 17-4 aux monténégrins, wow ! Le match a basculé côté bressan et l’on sent nos joueurs dérouler leur basket. Ce n’est pas pour déplaire au public d’Ekinox qui se lève sur un 3 points + la faute d’EJ Rowland, déjà 13 points pour lui. L’écart grimpe à 8 unités. Le momentum aindinois termine, la 30ème minute arrive avec un avantage de 3 unités, 58-55.
On l’aurait presque oublié, et pourtant, Isiaha Mike est dans le coup ce soir encore, le canadien convertit un missile dans le corner. Les hommes de Freddy Fauthoux tiennent à leur écart constant entre 4 et 6 points à l’approche du money time. Zaccharie drive, shoote, c’est Risacher time !!! Les effluves de l’Europe semblent lui convenir à merveille. Le Kokilator referme le couvercle au-dessus des tresses de Makoundou, photoooo, Kevin a signé LE poster de la soirée. Sans se faire peur dans les dernières secondes, la Jeu remporte une 4ème victoire en 5 matchs d’Eurocup, 78-73.
Les marqueurs : Risacher 21, Rowland 13, Mike 11, Kokila 8, Morgan 8, Salash 8, Julien 4, Courby 3, Omenaka 2
Rendez-vous dès samedi pour recevoir la Chorale de Roanne à Ekinox , 18h30 !!
Crédit photo : ©Alexia Graziani
Eurocup #5 – Podgorica, un gros morceau !
Après une première défaite en Eurocup, la JL Bourg souhaite retrouver la victoire à Ekinox face à Podgorica
Betclic Elite #9 – Grosse victoire à Dijon !
66
84
Score par quart-temps : 13-29, 22-24, 14-13, 17-18
LE RÉSUMÉ
Passée la déception de Gran Canaria, il est l’heure pour la JL d’aborder un déplacement à Dijon. La JDA relancée la semaine dernière par un Holston incandescent, s’est renforcée avec l’ajout de Giovan Oniangue dans le roster. Pour nos bressans, la dynamique est tout autre avec les absences de Massa, Lewis, mais aussi d’Hugo Benitez et de Zaccharie Risacher, ménagé ce soir.
Comme bien souvent cette saison, c’est avec le canadien Isiaha Mike que la JL débloque son compteur. On le sait en progrès sur son tir, ça tombe bien, Axel Julien le trouve parfaitement, 4-8, puis 4-12. Grâce à sa défense de fer, la Jeu s’offre de bons ballons en attaque, à l’image d’un Bryce Brown à qui il ne faut pas laisser 1 centimètre, déjà 10 points pour lui dans ce premier quart, et un écart qui augmente, 6-19. L’adresse est aux rendez-vous pour nos joueurs, 71% aux tirs, 13-29 après 10 minutes.
Un match de basket dure 40 minutes, notre JL doit tenir le rythme les 30 prochaines minutes. Le début du 2e quart ne laisse pas présager de temps faibles, le rythme est plus haché, sans que cela ne perturbe l’équilibre du collectif de Freddy Fauthoux. La JDA essaye de faire une remontée, passe un 8-0, attention, il reste encore du temps. Axel Julien prend les choses en main et remet l’équipe en ordre de marche, mi-temps 35-53.
La JL sans l'ombre d'un doute
Le retour des vestiaires voit les dijonnais tenter leur va-tout. L’écart se réduit à 13 unités, il faut tenir. Les intérieurs de la Jeu sont trop vite pénalisés, Godwin 4 fautes en moins de 10 minutes, et Kevin 3 en 12, Freddy doit s’appuyer sur le jeune Moulaye Sow. Le quart se termine enfin 14-13, les rouges conservent 17 unités d’avance à l’entame des 10 dernières minutes.
La Jeu a déroulé lors de ce dernier quart, les dijonnais n’ont jamais trouvé les clés pour perturber l’équipe aindinoise. Les cadres bressans se sont tendus le match facile, permettant même à Freddy Fauthoux d’offrir un passage dans l’élite à Victor Maury & Anatole Humeau. Victoire 84-66, une énorme opé commando réussie comme on les aime ! Bravo Messieurs !
Les marqueurs : Brown 19, Salash 17, Mike 15, Rowland 12, Julien 7, Kokila 5, Morgan 5, Courby 2, Omenaka 2, Maury, Sow, Humeau
Grande semaine à Ekinox, deux rendez-vous ! Mercredi & samedi !
Crédit photo : ©JDA Dijon
Betclic Elite #9 – Retrouvailles pour maintenir le cap
Au premier quart de la saison, la Jeu veut consolider sa place en haut du classement
Eurocup #4 – Gran Canaria plus solide
84
76
Score par quart-temps : 26-21, 30-20, 13-15, 15-20
LE RÉSUMÉ
Loin de la grisaille et de l’humidité ambiante, nos joueurs ont rejoint les Canaries, les plages et les volcans. Aucune méprise possible, il n’est pas question de faire du tourisme pour l’équipe de Freddy Fauthoux ce soir.
Dans ce duel entre les deux derniers invaincus du groupe B, c’est la JL qui montre les muscles en début de match à l’image du dunk rageur de Kokila ou du coast to coast de Risacher. Les deux jeunes bressans cumulent déjà 10 points. Les deux coachs, Freddy Fauthoux comme Jaka Lakovic, tous deux anciens internationaux, procèdent rapidement à de nombreux changements. A ce jeu là, ce sont les remplaçants espagnols qui marquent leur territoire, résultat 26-21 après 10 minutes.
A la reprise, nos joueurs ne parviennent à revenir, pire l’écart grime de 9 unités à 15, obligeant Coach Fauthoux à stopper la partie de nouveau. Il faut dire que les quelques balles perdues en trop, commencent à peser. Lammers & Pelos font un vrai chantier, les deux intérieurs comptent 21 points 7 rebonds en 15 minutes à eux deux. La domination espagnole se traduit aussi par un net avantage au rebond, 20 rebonds à 10 et 13 lancers à 0. A la mi-temps Gran Canaria 56, JL Bourg 41.
A peu de choses près...
Le retour des vestiaires ne permet pas aux aindinois de retrouver le niveau de réussite du début de saison, pour convertir les tirs ouverts. A l’image d’EJ Rowland, en verve ce soir, les hommes de Freddy ne lâchent rien, trouvant les ressources pour freiner au maximum les velléités espagnoles. Le pressing fonctionne et la Jeu revient -13 au buzzer de la 30e sur un layup d’Axel Julien. Jeremy Morgan en tête, nos joueurs montrent du caractère, de quoi se permettre d’espérer un retour.
Au forceps, la Jeu s’efforce de revenir dans la partie et revient à -9 à l’entrée de la dernière minute. La victoire de Vilnius hier, remontant 7 points en 24 secondes nous rappelle que tout est possible dans ce fabuleux sport comme aimait le dire Frédéric Sarre. Les rouges n’ont plus le droit à l’erreur pour réussir le coup parfait. -9, -8, et deux lancers à suivre pour Zaccharie Risacher, la JL est à -6 , 45 secondes du terme. Pas d’exploit. La JL ne s’imposera pas, 84-76. La Jeu repasse en deuxième position, celle du chasseur, de quoi laisser s’exprimer tout le caractère de notre effectif.
Nos joueurs peuvent repartir la tête haute et aborder la suite, un déplacement périlleux au Palais des Sports de Dijon, samedi 18h30.
Les marqueurs : Morgan 13, Rowland 12, Risacher 11, Mike 11, Kokila 9, Brown 9, Salash 5, Julien 2, Benitez 2, Omenaka 2, Courby
Crédit photo : ©Gran Canaria
